Venez découvrir ce qui me passionne et je vous souhaite une délicieuse visite .
5 Juillet 2017
1/ le cadre :
Il est fabriqué en carbone sur mesure pour chaque coureur , auquel , il s'adapte au millimètre près .
2/ les roues :
Il en existe de nombreux modèles ; avec un nombre et une forme de rayons différents , des hauteurs de jantes différentes , tout dépend du terrain et des préférences des coureurs . Chaque roue , tout en carbone , coute environ 3000 : une fortune .
3/ le porte-bidons :
Sur les preuves de contre la montre , les bidons sont profilés de manière à offrir le plus d'aérodynamisme possible . C'est à dire opposer un minimum de résistance au vent . Souvent , les coureurs donnent leurs bidons d'eau aux spectateurs . Mais ceux du contre la montre , jamais , ils coutent trop cher .
4/ la potence :
Elle doit être solide et légère . Selon son inclinaison et son réglage , elle s'adapte à chaque type de cyclisme .
5/ la selle :
Les tout premier modèles étaient en cuir rembourré de crin de cheval . Depuis , la selle a évolué pour être confortable , légère et ergonomique , éliminant au maximum les frottements de l'intérieur des cuisses . Après tout , les coureurs passent plusieurs heures dessus .
6/ la patte de dérailleur :
C'est le support qui permet de relier le dérailleur à la roue . Elle doit être bien fixée, afin que la chaine tourne à la perfection .
7/ les manettes de vitesses :
Elles ont autorisées pour la première fois en 1937 . Depuis , des nombreuses innovations ont vu le jour , notamment la transmission électrique : un simple impulsion sur le bouton suffit . Certaines équipes ont encore des systèmes mécaniques avec des câbles . Les coureurs du tour manipulent jusqu'à 20 vitesses .
8/ les cocottes :
elles relient les poignées de freins au guidon , et ont donné lez jour à une expression typiquement cycliste AVOIR LES MAINS UX COCOTTES , c'est a dire rouler dans une position assez décontracter , moins penchée sur le vélo .